Habiter un lieu, ce sera d'abord pour quelques plasticiens, réveiller
la substance des choses qui la définissent...
Composant des paysages seconds où la nature est prise en piège,
ils libèrent ainsi des énergies latentes dans la torpeur du déjà vu...
Mettre en scène l'espace, y susciter les virtualités sensibles
d'un paysage par l'intrusion brutale d'un matériau, c'est toujours
maintenir une distance.
C'est confirmer avec l'oeil cérébral < la nature du lieu >.
C. Estéban.
Traces, Figures, Traversées.
Ed. Galilée